PATRICE BALVAY - 12 JUIN 2016

Des crayons dont la mine trop tendre ne cesse de se casser.

Les lampes ressemblent à des méduses.

En tirant sur un fil ils se taillent tout seul.

Je vois la dérive des méduses dans le bassin d'en bas comme des nymphéas.

Il faut que ressorte ma carte pour partir demain à Kamakura.

Rien que pour le rouge.

Et le bleu.

 

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